Le RCB réunit sous le nom de « catalogues commerciaux » cinq types de documents
Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans les articles “Reclame als bron voor de geschiedenis van de technieken” et “The repertory of belgian trade catalogues”. Les catalogues de libraires et d’éditeurs ont été laissés de côté, de même que ceux des antiquariats (peintures, manuscrits, etc.) et la publicité relative aux services.
Pour des raisons pratiques, le Répertoire se limite aux documents parus avant 1950, mais les cas incertains sont également repris.
Nous n’acceptons que les documents édités en Belgique ou à l’étranger par des firmes belges.
Les adresses sont reprises exactement telles qu’elles apparaissent sur les documents. Seul le nom de la commune ou de la ville est traduit si nécessaire, cela, afin d’utiliser la langue de la partie du pays où le document a été publié.
Lorsqu’aucune date d’édition n’est mentionnée, mais qu’un millésimme antérieur ou postérieur est trouvé à l’intérieur de la revue, nous l’indiquons après un p (post = après) ou un a (ante = avant). Si aucune indication de temps n’est trouvée, nous situons le document dans une fourchette approximative, par ex. 1875-1899 ou 1900-1924.
Le code RCB se compose de deux chiffres : le premier renvoie à la société, le second à une édition en particulier. Il constitue donc une référence claire et précise.
Lorsqu’un catalogue a été scanné en tout en ou partie, on peut le consulter dans le fichier en cliquant sur le téléchargement.
Sur demande, le MOT peut mettre ces illustrations à votre disposition en haute résolution, par email (info@mot.be). Vous trouverez des détails à ce sujet dans la rubrique consacrée aux droits de reproduction.
